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Sur les rapports concernant la Guerre de 14-18.

Nombreuses sont les institutions qui réfléchissent sur les motifs profonds de cette guerre. Benjamin Freedmann, né aux États-Unis en 1890 de parents juifs, homme d’affaires prospère, initié de la politique et de l’économie américaine du plus haut niveau, affirmait dans une allocution en 1961 : « Ce sont l’Angleterre, la France et la Russie d’une part et l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie d’autre part qui ont mené cette guerre. L’Allemagne a gagné en l’espace de deux ans et elle a proposé la paix à l’Angleterre, un statu quo. » Puis, un groupe d’internationalistes allemands se serait adressé au ministère britannique de la Guerre en prétendant qu’ils pourraient encore gagner la Guerre avec l’appui des États-Unis. « "Nous allons faire en sorte que les États-Unis deviennent vos alliés dans cette guerre", disaient-ils. Je peux le prouver en produisant de la documentation. Peu après, les États-Unis sont entrés en guerre en tant qu’alliés de la Grande-Bretagne. Après la guerre, en 1919, il y eut la Conférence de "paix" à Paris. J’y étais. On exigeait de l’Allemagne des réparations exorbitantes, alors qu’elle n’était pas responsable du déclenchement de la guerre. Sa seule erreur avait été de gagner. L’Angleterre, la France et la Russie voulaient la briser. Il n’y a aucun historien qui pourrait citer un autre motif raisonnable. » Autant pour Freedmann. – Dans un rapport publié le 15 juin 2014 par Rolf Winkler, Munich, il s’exprime au sujet de la question ukrainienne : « Depuis 1945, nous, les Allemands, sommes soumis aux lois des occupants, sans traité de paix. L’accord de la Conférence de Potsdam n’a jamais été mis en œuvre. » – Et en Suisse, nous devrions renoncer à notre doit à l’autodétermination au bénéfice de l’UE ?

 

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