ph logo

Prüfen + Handeln – früher Memopress ,
Sprachrohr der Aktion Volk + Parlament -
übernimmt periodisch die Texte der zwei
bis drei wöchentlichen Newsletters.

Les partisans et les opposants de l’initiative « Financer l’avortement est une affaire privée » ont déclaré qu’il fallait éviter les avortements en améliorant les services de conseil et de soutien. Malheureusement, certaines femmes enceintes se soumettent au conseil obligatoire, mais souhaitent quand même procéder à un avortement non motivé aux frais de la caisse maladie. Ainsi, on pouvait lire, par exemple, que certaines femmes avortent les filles, parce que la famille souhaite avoir des garçons.
Il est paradoxal qu’en Suisse, les criminels dangereux profitent apparemment d’une meilleure protection que les enfants à naître, innocents et en bonne santé avec une maman qui est également en bonne santé. Et ce, malgré la disponibilité et le soutien de nombreuses organisations. Toutefois, la liberté individuelle s’arrête là où elle commence à faire du tort à autrui, notamment aux enfants.
Il est donc légitime de s’attendre à ce que, lors du conseil obligatoire, l’on refuse l’avortement à une femme qui veut avorter pour de simples motifs de planification de vie. De plus, il n’est pas rare qu’une femme souhaite rétrospectivement avoir gardé et mis au monde son enfant. D’un autre côté, une femme enceinte peut se sentir soulagée, si elle ne doit pas décider elle-même d’un avortement nécessaire. Cela peut lui éviter des troubles psychiques et d’importants coûts de soins.
Emil Rahm, Hallau

 

Aller au haut