Dans d’autres chapitres traitant de questions d’ordre technique nous lisons que «Dieu est prêt au dialogue» et qu’Il répond, que nous – au besoin de rédemption – sommes les plus proches l’un de l’autre dans la dépendance de la bonté divine. «Par la grâce de Dieu et de la justice divine nous apprenons «Comment Dieu porte notre culpabilité et celle du peuple». «Quand Dieu parle, les choses se passent», dit un auteur en se référant indirectement au fait que nous devrions prendre au sérieux les prophéties et les promesses de Dieu. Cette constatation vient d’un scientifique des sciences naturelles qui continue: «Je me rends compte que seul Jésus réussira, même après sa résurrection, de créer la vie commune de l’amour». – Puisque Dieu créa le vouloir et l’accomplissement, nous devons agir (Phil. 2,13). Et comme Dieu nous a donnés, selon l’évangile de St Luc (10,19), la maîtrise de toute la puissance de l’ennemi, nous devons lutter contre le mauvais esprit en toute vérité, justice et foi (Eph. 6, 10-17). Le prophète Ezéchiel (11,119) prédit que Dieu donnera en cadeau aux hommes un nouvel esprit qui les rend capables d’obéir aux commandements divins.

Dans son Epitre aux Romains (8,38/9), l’Apôtre Paul écrit également que rien ne nous sépare de l’amour de Dieu dans Jésus-Christ. Nous ne devons pas refuser de reconnaître les visions/prophéties bibliques. La partialité ne fait que soutenir la tendance illusoire du New-Age. Comme nous sommes imparfaits nous devons nous dire selon St Paul: «Le bon que je veux, je ne le ferai pas, mais le mal que je ne veux pas, je le fais» (Romains 7,19). En vue du manque d’attention à Lui, Jésus dit: «Vous ne m’acceptez pas mais vous accepterez celui qui vient en son propre nom (Jean 5.43). Lorsque les disciples de Jésus Lui demandent les signes extérieurs annonçant sa résurrection, Il prédit l’apostasie, une augmentation d’injustices, de catastrophes et de soulèvements populaires. Il met en garde contre de faux messies et contre des doctrines préparant l’avènement annoncé de l’Antéchrist (Matth. 24,1, Jean 2.22.2 et 7). Quoi qu’il advienne, ce qui reste est le mandat divin: Examiner les esprits et les renvoyer, avec engagement social, à l’évangile par la Grâce de Dieu, à l’espérance chrétienne du nouveau monde de Dieu et, surtout, se changer soi-même par la force de la parole biblique.

(«Eid(Zeit)genossen», sommaire. Memopress 3/91)

 

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